- Port-au-Prince, reportage: Port-au-Prince dans les années 50 et 60 (March 18, 2008) , 10 minutes.
- Route Port-au-Prince - Mirebalais (RN3): Reportage technique sur la construction de la Route P-a-P - Mirebalais (June 22, 2008) , 14,33 minutes.
- Région de l'Artibonite: Visite avec Frère Joel Trimble (September 5, 2009) , 10 minutes.
- Trajet Haut de Bourdon - Champ-de-Mars: 10-Minutes Drive in Port-au-Prince, Haïti (2008) (quelques commentaires en créole).
- Port-au-Prince en son et images: Visit Port-au-Prince, Haïti (September 5, 2009), 9,5 minutes.
- Port-au-Prince, architecture en son et images: The Architecture and Decor of Port-au-Prince (September 4, 2009), Hugeaux Photography, 9,33 minutes.
- Pétion-ville, en son et images: Pétion-ville (August 22, 2009), Hugeaux Photography, 4,5 minutes.
- Furcy: Visite de Furcy avec Frère Joel Trimble (February 1, 2008) , 9,33 minutes.
- Belot (Kenscoff): Visite avec Frère Joel Trimble (August 22, 2009) , 9,8 minutes.
- Fonf-Parisien, Département de l'Ouest: Visite avec Frère Joel Trimble (February 2, 2008) , 10 minutes.
- Route Port-au-Prince - Léogâne - Jacmel (RN2 et RN4) en son et images: Road to Jacmel (August 24, 2009) , Hugeaux Photography, 9,5 minutes.
- Une grande maison montrée par son jeune propriétaire: The House in Haiti (February 2, 2010) , 10 minutes (commentaires en anglais).
- Vers Jacmel - 1: Going to Jacmel, Part I (July 22, 2009) , 9,33 minutes (en créole).
- Vers Jacmel - 2: Going to Jacmel, Part II (July 22, 2009) , 10,5 minutes (en créole).
- Vers Jacmel - 3: Going to Jacmel, Part III (July 22, 2009) , 8 minutes (en créole).
- Jacmel: Visite avec Rachèle Magloire et Carl Lafontant (March 11, 2008) , 10 minutes.
- Saint-Marc: Visite avec Frère Joel Trimble (February 1, 2008) , 9 minutes.
- Région de Saint-Marc, Club Indigo : Club indigo, Joël et Yvonne Trimble (September 11, 2009) , 10 minutes (en créole).
- Hotel dans la région de Saint-Marc: Club Indigo (January 5, 2009) , 9,1 minutes.
- Saint-Marc: Visite de Saint-Marc (September 4, 2009) , 9,33 minutes.
- Desarmes, Artibonite: Visite Desarmes avec Frère Joel Trimble (April 6, 2008) , 10 minutes.
- Montruis, Moulin sur Mer: Visite de Moulin sur Mer avec Frère Joel Trimble (March 8, 2008) , 10 minutes.
- Voyage Port-au-Prince - Cayes: Trajet P-au-P - Cayes (April 18, 2009) , 9,1 minutes.
- Région de Camp-Perrin: Visite Camp-Perrin avec frère Joël Trimble (August 8, 2009) , 9,5 minutes.
- Région de Port-Salut: Port-Salut (April 22, 2009) , 10 minutes.
- Hotel Montana: Hotel Montana -0 (April 17, 2009) , 6,67 minutes.
- Hotel Montana: Hotel Montana -1 (April 17, 2009) , 10 minutes.
- Hotel Montana: Hotel Montana - 2 (April 17, 2009) , 9,67 minutes.
- Belleville: Visite de Belleville (September 3, 2009) , 10 minutes.
- Abricots, Grande-Anse: Visite avec Frère Joel Trimble (Auguste 26, 2008) , 9,5 minutes.
- Haïti, documentaire: Faces of Haiti (April 15, 2008) , 10 minutes.
- Police Nationale d'Haïti, documentaire: PNH au travail (October 2, 2009) , 14,5 minutes.
lundi 7 juin 2010
Haïti-quelques vidéos trouvés sur le Web
samedi 5 juin 2010
Haïti-Départements du Nord et du Nord-Est/RN6-Route nationale Cap-Haïtien - Dajabon (janvier 2009)
Amies et amis internautes,
Voici un documentaire sur un projet qui a vu le jour grâce aux efforts extraordinaires du ministre Paul G. Magloire du gouvernement intérimaire Alexandre - Latortue (2004-2006).
Le projet s'est terminé sous le gouvernement Préval - Pierre-Louis en janvier 2009.
Pour visionner le documentaire, cliquez sur Route Cap - Dajabon.
En 2009-2010, cette route est l'un des rares tronçons de route qui soient en bon état.
Nous espérons que cette route soit entretenue, que les autres routes du pays soient réhabilitées et entretenues, que le réseau routier soit extensionné et entretenu pour que la densité du maillage routier passe de 0,12 km de route par kilomètre carré de superficie à 0,26 km par kilomètre carré, c'est-à-dire, à peu près celle de la république voisine.
Haïti-Département de Nippes/Projet de réhabilitation d'une route agricole par des travaux de type HIMO (Mars 2009)
Amies et amis internautes,
Il s'agit d'un vidéo préparé par la Primature.
Le document date de 2009.
Pour le visionner, cliquez sur: Réhabilitation HIMO/Route agricole Nippes.
Le Coin de Pierre est pour l'emploi d'une haute intensité de main-d'oeuvre (HIMO) dans les projets de construction, de réhabilitation et d'entretien des routes en Haïti.
Cependant LCDP croit qu'il faut combiner de manière optimale l'utilisation de l'HIMO et celle du matériel lourd du génie civil sur un même projet.
L'HIMO peut s'employer par exemple dans les travaux de maçonnerie reliés aux dispositifs de drainage d'une route, aux travaux d'entretien des routes, dans une certaine mesure; mais les travaux de remblai/déblai, la pose des couches de remblai et des couches de chaussées, le compactage de ces couches devraient se faire à l'aide d'engins du génie civil.
L'HIMO peut aussi s'utiliser dans le reboisement des bassins versants en général, dans les travaux de protection des talus de déblais et de remblais en particulier.
Haïti-avant séisme/Construction d'un petit pont Bailey sur la route reliant Dondon à Saint-Raphaël, département du Nord
*
Voici une réalisation qui devrait servir d'exemple à suivre sur tout le réseau routier d'Haïti. Cela aiderait à désenclaver un peu le pays en dehors.
C'était bien avant le séisme du 12 janvier 2010.
Nous supposons que les travaux de consolidation et de protection des culées du pont ont été réalisés.
Cliquez sur le lien suivant pour prendre connaissance du projet réalisé:
On souhaiterait voir constamment à l'oeuvre les ingénieurs militaires de la MINUSTAH qui travailleraient en partenariat avec des firmes locales privées, avec des ingénieurs (militaires et civils) des pays voisins (cubains, vénézuéliens, dominicains, chiliens, argentins, brésiliens,...), dans la construction de petits et grands ponts sur tout le réseau routier national, et donc dans les dix départements géographiques du pays. Une telle coopération technique/militaire permettrait à la fois de réduire considérablement les coûts de tels ouvrages que le Coin de Pierre juge exorbitants quand les travaux sont exécutés par les firmes privées. On pourrait étendre ce partenariat dans la construction du réseau routier, la formation technique d'ouvriers spécialisés, etc.
Enfin, dans tous ces projets, le maître d'ouvrage (*) devrait être, en fait et en droit, le Ministère des Travaux Publics d'Haïti. Et la présence du MTPTC sur tous les chantiers devrait être visible et effective en tout temps.
________________
(*) Voir : Wikipédia - Maître d'ouvrage.
mercredi 2 juin 2010
L’évaluation des ressources en eau d'Haïti (1999)
Il s'agit d'un rapport rédigé par des ingénieurs de l'Armée américaine.
Bien qu'il date de dix ans, les données qu'il contient sont précieuses pour tout ingénieur ou toute institution qui se penchent sur ce problème crucial d'approvisionnement en eau en Haïti.
Voici un extrait du résumé de cette étude datant de 1999. On le lira en ayant en tête ce décalage temporel.
Haïti est l'un des pays les plus densément peuplés dans le monde et l'un des plus pauvres dans l’Hémisphère occidentale. La population a déjà devancé la production de nourriture domestique.
Un tiers de la population habite dans le Département de l’Ouest où Port-au-Prince est localisé. La lourde migration des ruraux aux villes et aux cités s’est passée dans la dernière décennie et a affecté la distribution de l'approvisionnement en eau.
L’accès aux facilitées d’eau et au système sanitaire est insuffisant, contribuant aux conditions de vie pauvre, la maladie, et un taux de mortalité èlevé. En 1990 seulement 39 pourcents des 5.9 millions d’habitants ont eu l’accès en quantité suffisante à l’eau et seulement 24 pourcents au système sanitaire. Le manque d’eau potable pour les besoins humains fondamentaux est un des problème le plus critique dans le pays.
Il y a suffisamment d’eau pour satisfaire les demandes d’eau, mais la direction convenable pour développer et maintenir les conditions d'approvisionnemet d’eau manque. Cependant, le secteur d'approvisionnement en eau subit une transformation complète. Bien qu’actuellement il n’y a pas de règle d'approvisionnement d’eau compréhensive, du progrès est fait en vue d’établir une règle pour la direction des ressources d’eau nationale.
De nombreuses agences et des organisations non-gouvernemental (ONG) travaillent pour fournir l’eau. Beaucoup d’entre eux dirigent leurs missions avec très peu de coordination avec les autres agences, ce qui crée la répétition du travail et l’usage inefficace des ressources.
L’Unité de Réforme pour l’Eau Potable (URSEP) est une agence spéciale crée récemment pour aider à organiser les efforts des diverses agences dans le secteur d’eau (*).
La pollution des ressources d’eau est un problème significatif. La contamination de l’eau de surface et de l’eau souterraine peu profonde est répandue à travers le pays. L’eau domestique usée et l’eau de ruissellement agricole causent la contamination biologique de l’eau en aval et près des endroits peuplés. Actuellement il n’y a pas de système publique pour la collection et le traitement de l’eau usée. Les indications disent que la contamination augmente rapidement, surtout pour l’eau de surface. La quantité de pollution de l’eau est importante parce qu'une part importante de la population utilise encore l’eau de surface et l’eau souterraine des aquifers peu profonds pour leur approvisionnement.
La déforestation, avec ses conséquences environnementales accablantes, est un problème sérieux à Haïti. Lac de Peligre, le seul réservoir majeur dans le pays, a perdu 30 pourcent de sa capacité d’emmagasinage à cause de la sédimentation causée par la déforestation. La déforestation accélère l’érosion du sol, diminue la quantité de recharge à l’aquifère en augmentant le ruissellement de l’eau, les barrières en récifs et l'écosystème endommagé augmentent la turbidité qui affecte les mangroves, diminue la production agricole, et cause des problèmes et augmente l’entretien des systèmes d’eau et la quantité de l’eau dans le réservoir.
Les données hydrologiques manquent aussi. Depuis Avril 1998, seulement 3 des 35 stations de jaugeage et 25 pourcents des jauges hydrométéorologiques fonctionnaient. L’information technique obtenue d’un tel réseau est critique pour la direction efficace des ressources d’eau.
Si les recommandations pour la direction des bassins sont adoptées, si du progrès se fait vers la diminution de l’accès des déchets non traités dans les voies aquifères de la nation, et si une politique pour la gestion des ressources d’eau nationale est exécutée, alors des profits positifs, immédiats et à longs termes pourraient être reálisés.
Pour lire le rapport, cliquez sur le lien suivant:
Bien qu'il date de dix ans, les données qu'il contient sont précieuses pour tout ingénieur ou toute institution qui se penchent sur ce problème crucial d'approvisionnement en eau en Haïti.
Voici un extrait du résumé de cette étude datant de 1999. On le lira en ayant en tête ce décalage temporel.
Haïti est l'un des pays les plus densément peuplés dans le monde et l'un des plus pauvres dans l’Hémisphère occidentale. La population a déjà devancé la production de nourriture domestique.
Un tiers de la population habite dans le Département de l’Ouest où Port-au-Prince est localisé. La lourde migration des ruraux aux villes et aux cités s’est passée dans la dernière décennie et a affecté la distribution de l'approvisionnement en eau.
L’accès aux facilitées d’eau et au système sanitaire est insuffisant, contribuant aux conditions de vie pauvre, la maladie, et un taux de mortalité èlevé. En 1990 seulement 39 pourcents des 5.9 millions d’habitants ont eu l’accès en quantité suffisante à l’eau et seulement 24 pourcents au système sanitaire. Le manque d’eau potable pour les besoins humains fondamentaux est un des problème le plus critique dans le pays.
Il y a suffisamment d’eau pour satisfaire les demandes d’eau, mais la direction convenable pour développer et maintenir les conditions d'approvisionnemet d’eau manque. Cependant, le secteur d'approvisionnement en eau subit une transformation complète. Bien qu’actuellement il n’y a pas de règle d'approvisionnement d’eau compréhensive, du progrès est fait en vue d’établir une règle pour la direction des ressources d’eau nationale.
De nombreuses agences et des organisations non-gouvernemental (ONG) travaillent pour fournir l’eau. Beaucoup d’entre eux dirigent leurs missions avec très peu de coordination avec les autres agences, ce qui crée la répétition du travail et l’usage inefficace des ressources.
L’Unité de Réforme pour l’Eau Potable (URSEP) est une agence spéciale crée récemment pour aider à organiser les efforts des diverses agences dans le secteur d’eau (*).
La pollution des ressources d’eau est un problème significatif. La contamination de l’eau de surface et de l’eau souterraine peu profonde est répandue à travers le pays. L’eau domestique usée et l’eau de ruissellement agricole causent la contamination biologique de l’eau en aval et près des endroits peuplés. Actuellement il n’y a pas de système publique pour la collection et le traitement de l’eau usée. Les indications disent que la contamination augmente rapidement, surtout pour l’eau de surface. La quantité de pollution de l’eau est importante parce qu'une part importante de la population utilise encore l’eau de surface et l’eau souterraine des aquifers peu profonds pour leur approvisionnement.
La déforestation, avec ses conséquences environnementales accablantes, est un problème sérieux à Haïti. Lac de Peligre, le seul réservoir majeur dans le pays, a perdu 30 pourcent de sa capacité d’emmagasinage à cause de la sédimentation causée par la déforestation. La déforestation accélère l’érosion du sol, diminue la quantité de recharge à l’aquifère en augmentant le ruissellement de l’eau, les barrières en récifs et l'écosystème endommagé augmentent la turbidité qui affecte les mangroves, diminue la production agricole, et cause des problèmes et augmente l’entretien des systèmes d’eau et la quantité de l’eau dans le réservoir.
Les données hydrologiques manquent aussi. Depuis Avril 1998, seulement 3 des 35 stations de jaugeage et 25 pourcents des jauges hydrométéorologiques fonctionnaient. L’information technique obtenue d’un tel réseau est critique pour la direction efficace des ressources d’eau.
Si les recommandations pour la direction des bassins sont adoptées, si du progrès se fait vers la diminution de l’accès des déchets non traités dans les voies aquifères de la nation, et si une politique pour la gestion des ressources d’eau nationale est exécutée, alors des profits positifs, immédiats et à longs termes pourraient être reálisés.
Pour lire le rapport, cliquez sur le lien suivant:
_________________
(*) NDCDP- Aujourd'hui, il y a la DINEPA (Direction nationale de l'eau potable et de l'assainissement, rattachée au MTPTC. On fait ici l'hypothèse (plausible) que la DINEPA ait été créée pour remplacer l'URSEP.
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