Par Dr. Pierre Montès
10 février 2010
Il semble que les tentes ne soient pas la solution que voudraient retenir les amis d'Haïti car elles ne résisteront pas aux vents à la prochaine saison cyclonique et la saison pluvieuse qui la précède, approche à grands pas.
Par conséquent, il me paraît évident qu'une solution possible soit entre les mains des ingénieurs en génie militaire (donc les ingénieurs militaires américains et autres...) qui savent construire rapidement ponts, abris, ouvrages de protection, etc. quand ils sont en guerre...
Ces abris solides pourraient recevoir chacun, je l'imagine, plusieurs dizaines de familles....
Ces abris seraient construits en dehors des zones détruites, mais dans des endroits sécuritaires ou sécurisés (contre les intempéries de tous genres).
Les populations ainsi déplacées devraient s'attendre à vivre sous ces abris pendant de longs mois, voire une année à deux...Il faudraient alors que des écoles de fortune (provisoires) soient mises sur pied pour recevoir les enfants de ces familles déplacées; il faudrait aussi équiper ces zones refuges provisoires d'un certains nombre de choses pour rendre la vie des déplacés plus facile: ramassage des déchets, leur offrir des soins de santé physique et mentale adéquats, leur donner l'opportunité de se divertir, etc., et surtout, les informer des solutions à long terme qui seront envisagées pour eux (préférablement avec eux), dans les zones détruites à reconstruire ou à reconfigurer...ou hors de ces zones...
Alors que le gouvernement actuel (Préval-Bellerive) demande à Bill Clinton et à l'armée américaine sur le terrain de lui proposer une solution de ce genre qui satisfasse les critères de sécurité et qui présente un minimum de confort à chacune des familles déplacées.
Si la solution ci-dessus ne peut être implémentée pour une raison ou une autre, alors, il faudra que chaque famille prenne la décision de se rendre en province, chez des parents ou amis dans des régions qui n'ont pas été touchées par le séisme du 12 janvier 2010.
Il me semble que l'on doive oublier toute solution où les gens seraient restées sur ou près des décombres. Il faut quitter les zones détruites ! Quand ? Le plus vite. Comment ? Pour allez où ? Moi, j'ai proposé ci-dessus deux alternatives.
À suivre...
10 février 2010
Il semble que les tentes ne soient pas la solution que voudraient retenir les amis d'Haïti car elles ne résisteront pas aux vents à la prochaine saison cyclonique et la saison pluvieuse qui la précède, approche à grands pas.
Par conséquent, il me paraît évident qu'une solution possible soit entre les mains des ingénieurs en génie militaire (donc les ingénieurs militaires américains et autres...) qui savent construire rapidement ponts, abris, ouvrages de protection, etc. quand ils sont en guerre...
Ces abris solides pourraient recevoir chacun, je l'imagine, plusieurs dizaines de familles....
Ces abris seraient construits en dehors des zones détruites, mais dans des endroits sécuritaires ou sécurisés (contre les intempéries de tous genres).
Les populations ainsi déplacées devraient s'attendre à vivre sous ces abris pendant de longs mois, voire une année à deux...Il faudraient alors que des écoles de fortune (provisoires) soient mises sur pied pour recevoir les enfants de ces familles déplacées; il faudrait aussi équiper ces zones refuges provisoires d'un certains nombre de choses pour rendre la vie des déplacés plus facile: ramassage des déchets, leur offrir des soins de santé physique et mentale adéquats, leur donner l'opportunité de se divertir, etc., et surtout, les informer des solutions à long terme qui seront envisagées pour eux (préférablement avec eux), dans les zones détruites à reconstruire ou à reconfigurer...ou hors de ces zones...
Alors que le gouvernement actuel (Préval-Bellerive) demande à Bill Clinton et à l'armée américaine sur le terrain de lui proposer une solution de ce genre qui satisfasse les critères de sécurité et qui présente un minimum de confort à chacune des familles déplacées.
Si la solution ci-dessus ne peut être implémentée pour une raison ou une autre, alors, il faudra que chaque famille prenne la décision de se rendre en province, chez des parents ou amis dans des régions qui n'ont pas été touchées par le séisme du 12 janvier 2010.
Il me semble que l'on doive oublier toute solution où les gens seraient restées sur ou près des décombres. Il faut quitter les zones détruites ! Quand ? Le plus vite. Comment ? Pour allez où ? Moi, j'ai proposé ci-dessus deux alternatives.
À suivre...
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